Une blessure qui fait du bien

Rappel des faits, c’est lors d’une soirée Hentaï que Schwarz a découvert les joies de « mettre des doigts dans une chatte en plastique ». L’intéressé ne s’en cache pas et de son propre aveu il a apprécié cette sensation qu’il n’avait plus ressentie depuis fort fort longtemps.
Cependant, faute de moyen, la thèse officielle relate qu’il n’aurait pu s’approprier ce bien qui lui donna tant de plaisir.
Mais depuis, celui que l’on surnomme affectueusement LICHON se revendique Blessé !!! Et qui plus est blessé à l’adducteur droit, une tendinite paraît-il…

Mensonge, calomnie, affabulation ou pure vérité, l’origine de cette blessure est en effet très controversée. Des rumeurs de plus en plus virulentes soutiennent qu’il aurait contracté un emprunt à la BNP (Banque National des Plasticophils) pour un montant s’élevant à 10€. Le montant exact de l’objet déchainant sa passion, et lui permettant de continuer à se répandre sur le monde. C’est tout simplement dégueulasse, et rien qu’à l’imaginer dans les toilettes, non c’est trop, pas de détails et je vais vomir, d’ailleurs en fermant les yeux… NON, j’ai dit STOP on arrête là !!! Cette blessure a tout l’air d’être le fruit de son acharnement sur ce pauvre bout de plastique. C’est laid, c’est très laid.

Très honnêtement, nous sommes en droit de nous interroger sur la santé mentale de notre alsacien qui reste un des joueurs clé de notre dispositif. Mais doit-on fermer les yeux ? Doit-on nous aussi participer à sa perversion ? Doit-on cautionner ce genre d’agissement ? Est ce que des vrais amis ne tenteraient pas plutôt de lui venir en aide ?

Il en est un pourtant qui semble ravi de la trouvaille de Schwarz : Rousseau. Il aurait en effet déclaré lors d’une soirée bien trop arrosée être à l’origine de la soirée hentaï. Pourquoi ??? Une seule réponse à cette question : son trou dans le bas du dos, évidemment. Rousseau en aurait eu assez de voir son trou bouché, torturé, souillé par les va et viens incessant de Schwarz et n’aurait rien trouvé de mieux que de se porter garant de crédit du Schwarzy. On sait maintenant sur qui on peu compter.

Damien Dumont

En direct de l'infirmerie, pour le FC sage

"Dumont saura faire face"

Mis en concurrence suite au dernier match du FC Sage et la prolifique victoire des siens 5-2 sur le terrain du Républicain Lorrain, Damien Dumont n’a pas tardé à réagir. Et l’a fait de façon plutôt véhémente s’en prenant à son coach quant à la gestion de l’équipe, son niveau footballistique ou le système de jeu. Il n’a effectivement pas supporté d’être mis en cause directement quant à son implication ou sur son soit disant manque d’efficacité. Piqué au vif, ses déclarations ont pour le moins été virulentes, appelant au ralliement et demandant même l’éviction du coach de son poste !

La direction du club, de son côté a préféré ne pas jeté d’huile sur le feu et a laissé la situation se calmer d’elle-même, sachant que le joueur avait été touché dans son orgueil. « On l’a senti très amer, c’était plus une dent mais un bridge qu’il avait contre le coach. » avouait même Nicolas Perrin. Quant au coach lui-même, suite à cette histoire, sa réaction est tout de même teintée de regrets :

« Mettre en concurrence des joueurs c’est la base d’une gestion d’équipe saine. Il n’est pas bon d’avoir des sénateurs. Damien Dumont a été touché dans son orgueil. C’est une bonne chose et nous attendons tous qu’il démontre sur le terrain lors d’un prochain match qu’il peut marquer un coup franc. Que ce n’est pas une légende urbaine. Je regrette qu’il ne soit pas venu me parler, que nous nous soyons expliqués entre hommes… Quand il est arrivé au club, je me souviens, il avait de grands yeux très clairs, où parfois passaient des éclairs, Comme au ciel passent des orages, Il était plein de tatouages, Que j'ai jamais très bien compris, Son cou portait : "Pas vu, pas pris", Sur son cœur on lisait : "Personne", Sur son bras droit : "Raisonne". Il était mince, il était beau, Il sentait bon le sable chaud… Y'avait du soleil sur son front Qui mettait dans ses cheveux blonds de la lumière…

Depuis il a grandi et est devenu une pierre angulaire de l’équipe. Mais pour autant… C’est le collectif qui doit être mis en avant. Pas les individualités. »

Un discours teinté de raison… Si la situation est difficile à vivre pour Damien Dumont, le coach en est sûr : « Il saura faire face comme il l’a toujours fait. Il a autant de caractère que le camembert Président. Et ne me faites pas dire que le président est un camembert...»

La revanche d'un blond

Car c’est dans la douleur et la difficulté, dans la sueur et dans le travail, dans les victoires et dans les défaites que se créent les liens sacrés qui unissent les membres d’une équipe, je me dois de réagir suite aux différentes déclarations de M.Bonnin.

J’aurais très bien pu intituler cette intervention « Tout le monde veut prendre sa place » mais cela aurait été insultant et offensant pour mes coéquipiers qui, eux, m’ont toujours soutenu et en qui j’ai une totale confiance.
Les raisons qui me poussent aujourd'hui à m’étaler ainsi dans la presse à scandale sont bien ténébreuses et perturbantes. Après un recrutement à la hauteur de nos ambitions voici que M.Bonnin a jugé bon après Un match d’absence de remettre en cause mon appartenance et mon implication au sein de ce merveilleux collectif messin qu’est le FC Sage. Pourquoi ce blâme ??? Ce manque d’égard ne serait-il pas en réalité le reflet de l’incompétence flagrante du coach actuel ??? (Nous n’évoquerons pas ici la corruption qui fut appliquée lors du dernier sondage sur la qualité de l’entraîneur).

Si je me dois de reconnaître que sa gestion de l’entraînement est plus qu’honorable et qu’il fut et reste un des tous premiers architectes de la Sage Cup, il n’en est pas moins que ses « qualités d’entraîneur » ne semblent plus à la hauteur de l’effectif actuel !!!
A faire évoluer les joueurs contre nature, les résultats lors des dernières compétitions parlent d’eux même. Preuve en est avec : Benoît Ippolito en défense, lui qui se revendique attaquant, Fred Rousseau lui aussi buteur en gardien de but, William Nies le gardien qui se mue en défenseur central et Aymeric Giraud en milieu, lui le défenseur central (ou remplaçant, au choix)...Et tout ça pour quoi ? Je l’affirme, dans son unique intérêt personnel, afin de s’auto proclamer avant centre (lui qui ne marque jamais, j'en pouffe de rire), lui le libéro devant l’éternel. Ne faut il pas y voir ici les derniers caprices d’un entraineur-joueur vieillissant, tentant coûte que coûte de décocher une dernière frappe dans les arrêts de jeu alors que le spectacle touche à sa fin…

Nous possédons pourtant dans notre groupe un tacticien ibérique auteur de nombreux ouvrages sur le football (tel que « les cahiers du football ») en la personne de Tony Rubio. Rubio qui possède notamment les agréments Microsoft en Science de la Gagne et des Buts de Raccroc (SGBDR) ne cesse pourtant de le clamer : je devrais être positionné plus haut sur le terrain. Mais non, rien, Bonnin joue la sourde oreille. Pourtant en alignant Chanut(dit Atos) / Médina (dit Portos) / Kévin le pote à Jean Mi/ Dumont / Ippolito et The Rock à l’attaque on s’imagine les ravages qu’un 4-2-3-1 pourrait causer dans les défenses adverses. Mais quelle serait la place d’un lutin sur le déclin dans ce type de configuration ? Une question qui en soulève bien d’autres….

Car quand certains s’évertuent à mettre en place l’art de faire du jeu, quand d’autres s’atèlent plutôt à l’art de faire déjouer les adversaires, M.Bonnin, lui, excelle dans l’art du faire forgé (fer forgé…). Quel est le rapport me direz vous, aucun, mis a part un pauvre jeu de mot avec le tennisman….et c’est là tout le problème.
Cette pseudo rivalité entre moi et Kévin le pote à Jean Mi n’est que pure spéculation, fantaisie et mesquinerie dont la résultante serait de ne pas mettre en péril l'ego surdimensionné du coach en place. Oppose-t'on Luc et Ian ? Non ! Georges Lucas en son temps a su en faire de alliés afin d’anéantir le coté obscur. Seul le driver Oppose (alors celle là fallait la faire !!!!) et dans un club le driver c’est le coach, voilà qui mérite réflexion.

Pour conclure je dirai que je sais de quoi je suis capable mais aussi de quoi le coach est coupable. Peu être que son manque d’éloignement du banc de touche influe sur sa vision du jeu car il y a bien longtemps que nous n’avons pas parlé de coaching gagnant après un match… Mais tout peu encore s’arranger et il y a fort à parier qu’autour d’une bonne pinte (voire plusieurs) et après les douze coups de clairon de minuit une solution sera trouvée entre le coach et moi, qui reste un de ses plus fidèles supporters.

Damien Dumont
Pour le plus grand bien du FC Sage

La vie sans Dumont

Absent du dernier match pour cause de spectacle de Gad El-Maleh, l'intouchable Damien Dumont se voit directement mis en conccurence avec Kevin le pote à Jean Mi. Et compte tenu de la prestation de Kevin le pote à Jean Mi, il a de quoi s'inquiéter !

Auteur de 2 buts, 1 passe décisive il a mené la vie dure aux milieux de terrains adverses durant toute la partie et a été élu homme du match. Précis dans ses passes, mouleux comme pas 2 (tir dévié par le gardien dans la lucarne, talonnade à moitié ratée de Jean Michel Wohmann qui lui revient dessus), son activité a été précieuse et décisive. Son entente avec The Rock fut prometteuse et laisse présager de magnifiques actions offensives. Moins présent que Damien Dumont dans l'entrejeu, il fut plus en réussite en revanche puisqu'en un seul match il a marqué autant de buts que Dumont en 4 saisons. De plus, il n'a pas eu de crampes à la fin du match.

Pendant que Damien Dumont, insouciant se la coule douce et joue aux grands du monde en préférant assister au spectacle, Kevin le pote à Jean Mi, lui, assure le spectacle sur le terrain... Une remise en cause du statut de titulaire indétrônable de Dumont à laquelle personne ne s'attendait. Dés lors plusieurs questions se posent :

Comment évoluera l'équipe lors du prochain match ? Dumont sera t'il sur le banc ? Récupèrera t'il sa place ? A la manière de Zidane et Djorkaeff en leur temps, la question se pose également pour Dumont et Kevin le pote à Jean Mi : les 2 joueurs peuvent ils évoluer ensemble ? Si Dumont était remplaçant, en voudrait il à Jean Michel Wohmann d'avoir fait venir Kevin son pote ? Suspense, suspense...

Repus du répu !

Note du match : 16/20

Spectateurs : 4

Etat du terrain : aussi glissant que les gants de Fred Rousseau.

Homme du match : Kevin le pote à Jean Mi. 2 buts et 1 passe décisive

Qui eut cru ? Au bout de cette première mi-temps poussive, de ces 45 min à courir aprés le ballon, où chaque ligne, friable en défense, fragile et lâche dans son marquage, regardait passer les ballons que le score final en serait ainsi ?

Le FC Sage logiquement sanctionné de 2 petits buts à la mi-temps, ce n'était pas cher payé... Une domination outrageuse récompensait les efforts des journalistes du républicain lorrain alors que le FC Sage avait ouvert la marque sur une lumineuse ouverture de Kevin le pote à Jean Mi pour The Rock (traduction de La Rocca) qui lobait un gardien hésitant à sortir. Une ouverture contre le cours du jeu cependant ! Tant la supériorité des joueurs locaux était évidente... Une supériorité même numérique puisqu'il paraitrait qu'ils ont joué à 12 contre 11 toute la 1ère mi-temps les saligauds... Fort heureusement, nous pourrons citer la combativité de Lionel Schwartz, du petit nouveau Julien, prendre exemple sur les tacles ravageurs de Benoit Ippolito, ou la hargne d'un Renaud Fontant propre dans ses interventions lors de ce premier acte.

Les équipes numériquement rééquilibrées, les entrées en jeu de Mathieu Heurtaux, Teddy Loueko et Bernard Houot, donnèrent alors un véritable élan aux verts et blancs lors de la seconde période. D'ailleurs il faut le changer ce jeu de maillot il est plus aux couleurs du club, il a 10 ans, et c'est super désagréable quand un maillot propre sent la chaussette sale... Mais revenons au jeu. Celui tout en pénétration de Bernard, tout en mouvement de Teddy et la finesse de Mathieu ont permis d'inverser la tendance. Et la domination de changer de camp. Et sur une action à 1 touche de balle entre Xavier The Rock, Frédéric Bonnin et Kevin le pote à Jean Mi, ce dernier égalisait.

Puis ce fut Thierry Chanut qui d'une frappe limpide relâchée par le gardien dans son but permettait de prendre l'avantage. Un vrai tir d'enc... Quelques minutes plus tard, une formidable percée sur l'aile gauche de Frédéric Bonnin ponctuée d'un centre en retrait talonné par Jean Michel Wohmann, feignant le plongeon de la carpe molle, pour Kevin le pote à Jean Mi qui concluait permettait de prendre un avantage sécurisant, avant que Teddy Loueko sur corner ne conclue la marque.

Dos au but, en déséquilibre, il s'arrachait pour reprendre de volée malgré un marquage serré et inscrivait au 1 er poteau le 5ème but de façon acrobatique d'une frappe surpuissante. Le but de la victoire. Celui du 5-2. Celui qui permettait aux joueurs de regagner les vestiaires euphoriques et se rougir la peau sous une douche brûlante et se prêter la savonnette...

Une belle victoire qui tarda à se dessiner. La préparation physique, à n'en pas douter, a largement contribué à la victoire permettant au Fc Sage de subir sans sombrer avant de s'imposer petit à petit et finir en force. Autour d'une 1664. Ou 2...