Le FC Sage Metz est une équipe de foot, certes, mais cette O.N.G. composée d’intellectuels reconnus n’en oublie pas pour autant de débattre sur les sujets géopolitiques sensibles du moment. Et là où les manuels d’histoire hésitent, les politiciens Switchent et l’O.N.U check ces érudits sont sur le point de mettre fin à la crise identitaire que traverse l’île du Cap Vert. En effet le Cap Vert est-il une province Portugaise ou est ce un territoire autonome, libre et libéral, les capverdiens eux mêmes se doivent d’avoir une réponse. Voilà la problématique épineuse à laquelle notre équipe s’est attelée.
Tout d’abord une description concise mais précise s’impose. Composé de petites iles volcanique dont le point culminant est à 2829m, l’archipel du cap vert se situe quelques part en atlantique Nord au large du Sénégal de la Gambie et de la Mauritanie. Longtemps resté inhabité, c’est l’arrivée des colons portugais en 1456 qui permit aux Hommes de peupler cette terre exigüe et peu fertile pour atteindre aujourd’hui les 417 283 habitants.
Notre débat semble donc dépourvu de raison car me direz vous la réponse historique coule de source, le cap vert est portugais. Néanmoins l’évidence, comme nos sens, peut parfois masquer notre jugement et il ne faudrait pas se méprendre sur la complexité du débat.
Compte tenu de l’éloignement et par voix de fait de l’isolement que connaît l’archipel, des groupes indépendantistes ont vu le jour et se sont vus majoritaires dans le pays. C’est ainsi qu’en 1975 le Cap Vert acquiert son indépendance en apparence. Oui, en apparence seulement, car l’emprise portugaise est plus que jamais présente et nombre de capverdiens se sentent avant tout lusitaniens. Ce n’est cependant pas le cas de M. Médina qui fut à l’origine de tout ça. Pour lui l’influence des colons est criminelle et sa patrie doit être reconnue comme un pays développant sa propre économie et surtout n’ayant plus aucun lien connexe avec Lisbonne.
La réalité est toute autre, peuplé de portugais, parlant portugais, mangeant portugais, dansant portugais, vivant portugais il est impossible de penser Cap Vert sans penser Portugais.
L’ordre du FC Sage, après avoir longuement débattu est donc arrivé à une conclusion certaine, le Cap Vert est tel un TOM du Portugal voire même un comptoir portugais, et au FC Sage quand il s’agit de comptoir ils savent de quoi il est question. Pour clore définitivement le débat les grandes instances du comité directeur, en partenariat avec l’O.N.U ont mis en place un référendum au cours duquel la réponse donnée par les joueurs fut sans appel : le Cap Vert est né portugais, il mourra portugais.
M. Ban Ki-moon : « Encore merci aux sages du FC Sage pour toute l’énergie et pour toute l’aide fournie dans ce dossier brûlant qui grâce à leurs investigations peut désormais être clos sans que nul heurt n’ai éclaté dans l’archipel. Grâce à eux la diplomatie internationale est sortie grandie, nous les attendons maintenant sur Gaza pour traiter de la Palestine. » Voilà un appel du pied qui ne laissera pas insensible l’équipe, en effet le conflit israélo-palestinien dure depuis maintenant plus de 50ans et sans un miracle dont est coutumier notre équipe personne ne voit comment trouver une solution. Affaire à suivre…
Damien Dumont pour le FC SAGE METZ
Membre du conseil chargé aux affaires étrangères.
Tout d’abord une description concise mais précise s’impose. Composé de petites iles volcanique dont le point culminant est à 2829m, l’archipel du cap vert se situe quelques part en atlantique Nord au large du Sénégal de la Gambie et de la Mauritanie. Longtemps resté inhabité, c’est l’arrivée des colons portugais en 1456 qui permit aux Hommes de peupler cette terre exigüe et peu fertile pour atteindre aujourd’hui les 417 283 habitants.
Notre débat semble donc dépourvu de raison car me direz vous la réponse historique coule de source, le cap vert est portugais. Néanmoins l’évidence, comme nos sens, peut parfois masquer notre jugement et il ne faudrait pas se méprendre sur la complexité du débat.
Compte tenu de l’éloignement et par voix de fait de l’isolement que connaît l’archipel, des groupes indépendantistes ont vu le jour et se sont vus majoritaires dans le pays. C’est ainsi qu’en 1975 le Cap Vert acquiert son indépendance en apparence. Oui, en apparence seulement, car l’emprise portugaise est plus que jamais présente et nombre de capverdiens se sentent avant tout lusitaniens. Ce n’est cependant pas le cas de M. Médina qui fut à l’origine de tout ça. Pour lui l’influence des colons est criminelle et sa patrie doit être reconnue comme un pays développant sa propre économie et surtout n’ayant plus aucun lien connexe avec Lisbonne.
La réalité est toute autre, peuplé de portugais, parlant portugais, mangeant portugais, dansant portugais, vivant portugais il est impossible de penser Cap Vert sans penser Portugais.
L’ordre du FC Sage, après avoir longuement débattu est donc arrivé à une conclusion certaine, le Cap Vert est tel un TOM du Portugal voire même un comptoir portugais, et au FC Sage quand il s’agit de comptoir ils savent de quoi il est question. Pour clore définitivement le débat les grandes instances du comité directeur, en partenariat avec l’O.N.U ont mis en place un référendum au cours duquel la réponse donnée par les joueurs fut sans appel : le Cap Vert est né portugais, il mourra portugais.
M. Ban Ki-moon : « Encore merci aux sages du FC Sage pour toute l’énergie et pour toute l’aide fournie dans ce dossier brûlant qui grâce à leurs investigations peut désormais être clos sans que nul heurt n’ai éclaté dans l’archipel. Grâce à eux la diplomatie internationale est sortie grandie, nous les attendons maintenant sur Gaza pour traiter de la Palestine. » Voilà un appel du pied qui ne laissera pas insensible l’équipe, en effet le conflit israélo-palestinien dure depuis maintenant plus de 50ans et sans un miracle dont est coutumier notre équipe personne ne voit comment trouver une solution. Affaire à suivre…
Damien Dumont pour le FC SAGE METZ
Membre du conseil chargé aux affaires étrangères.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire